L’AQT et Investissement Québec s'associent pour donner la parole aux entrepreneurs technos

L’AQT et Investissement Québec s’associent pour donner la parole aux entrepreneurs technos

L’AQT et Investissement Québec s’associent pour donner la parole aux entrepreneurs technos

L’Association québécoise des technologies, en collaboration avec Investissement Québec, a proposé au cours des derniers mois trois vidéos, intitulées « Les clés du succès », et trois balados, ayant tous pour thèmes l’innovation, l’exportation et la croissance. Ces trois podcasts ont donné la parole à des entrepreneurs qui ont partagé leurs expériences avec beaucoup de transparence, y allant même de conseils instructifs.

Dans la vidéo « Les clés du succès des entreprises techno – Innovation », des entrepreneurs comme Linda Eytchison, vice-présidente directrice et chef de l’administration de Saco, et Patrick Sauvageau, PDG et cofondateur de Zilia, démontrent que l’innovation ne se définit pas au nombre de brevets déposés par une entreprise, mais par les retombées commerciales qui en découlent. Frantz Saintellemy, président et COO de LeddarTech, avance que le Québec représente une pépinière de talents et de créativité dont il faut encourager l’ambition.


Dans la vidéo « Les clés du succès des entreprises techno – Exportation », Rémi Racine, président et producteur exécutif de Behaviour Interactif, Julie Coulombe, conseillère principale, secteur technologique d’Investissement Québec International, Didier Gombert, PDG d’Objectif Lune, et Samer Saab, PDG d’Explorance, expliquent l’importance de l’exportation pour les entreprises technologiques québécoises, ainsi ouvrant de nouveaux marchés.


Enfin, la vidéo « Les clés du succès des entreprises techno – Croissance » donne la parole à Marie-Ève Hermkens, présidente de Boomrank, Martin Tremblay, PDG de Solotech, et Paul Raymond, président et PDG d’Alithya, qui présentent leurs points de vue sur la croissance et son importance dans leurs entreprises respectives.


L’innovation et la productivité sont en effet des notions clés du secteur, mais peuvent être difficiles à gérer au quotidien. Anaïs Berzi, PDG d’Hotello, et Gilles Pepin, PDG d’HumanWare, ont participé au premier des trois balados. L’innovation est tout d’abord nécessaire pour combler les besoins primaires des clients, note la PDG d’Hotello. La technologie véhicule l’innovation, mais elle n’est pas que question de technologie. L’innovation demeure un moteur de croissance, ajoute Gilles Pepin, dont l’entreprise en fait un leader mondial des technologies d’assistance pour les personnes aveugles ou malvoyantes.


La croissance des entreprises technologiques demeure un enjeu majeur pour les PDG. Comment réussir sa croissance? Quels sont les signes d’une croissance réussie? Peut-on la rater? Des questions que l’Association québécoise des technologies a posées à Guillaume Bazinet, PDG de FX Innovation depuis juin 2020, également président du conseil d’administration du CRIM, à François Jérôme Gosselin, président de Novatize, et à Joé Bussière, président de Libéo depuis 2003 et associé de cette entreprise comptant 75 employés, lors de podcast consacré à la croissance. « Dans un premier temps, il s’agit d’atteindre les grands objectifs de son plan d’affaires, ce qui peut se traduire de plusieurs façons : le chiffre d’affaires, le nombre d’employés ou la croissance à l’international », explique le PDG de FX Innovation.


Le gouvernement du Québec s’est engagé, au début de l’année 2021, à augmenter les exportations. En mars dernier, un plan de 500 millions $ sur cinq ans a été adopté à cet effet. La moitié de cette somme provient d’Investissement Québec. Dans ce balado, Marion Duchesne de Mediaclip, Martin Thériault d’Eddyfi/NDT, et François Rainville d’Averna ont raconté comment ils ont décidé de faire de l’exportation, en donnant des conseils sur les meilleures façons de le faire . « Et tant qu’à y aller, autant le faire complètement, note Marion Duchesne. Il faut prendre le risque et tout mettre en place pour que son exercice d’exportation fonctionne. Par contre, il faut bien cibler son marché, ajoute de son côté François Rainville, car oui, les États-Unis représentent une mer rouge comprenant de très gros requins. »


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