Stratégie québécoise de la recherche et de l’innovation : l’AQT salue la volonté d’aider les entreprises à la commercialisation

Stratégie québécoise de la recherche et de l’innovation : l’AQT salue la volonté d’aider les entreprises à la commercialisation

Montréal (Québec), le 12 mai 2017 – L’Association québécoise des technologies (AQT) accueille favorablement la Stratégie québécoise de la recherche et de l’innovation (SQRI) 2017-2022, annoncée ce vendredi à l’ÉTS par le ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation.

Ces mesures permettront, d’une part, le maintien de la compétitivité québécoise en recherche et, d’autre part, le développement de compétences québécoises. Naturellement, sur le long terme, l’AQT y voit des retombées indéniables pour les entreprises technologiques de la province. Le premier ministre, M. Philippe Couillard et la ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation, Mme Dominique Anglade, ont communiqué la stratégie totalisant 585 M$ sur cinq ans.
Le ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, M. Sébastien Proulx, la ministre responsable de l’Enseignement supérieur, Mme Hélène David, et le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. Laurent Lessard, étaient présents.
« Les entreprises technologiques membres de l’AQT seront rassurées de constater la volonté du gouvernement du Québec de former des talents et des compétences pour l’innovation, mais aussi de favoriser le transfert et la commercialisation des solutions mises au point ici », a affirmé la présidente-directrice générale de l’AQT, Mme Nicole Martel.

Commercialisation et transfert
La ministre Anglade a d’abord reconnu que le Québec connaissait des lacunes quant à la commercialisation de l’innovation et elle a ensuite affirmé sa détermination à corriger cette faiblesse. La SQRI prévoit d’ailleurs 185 M$ pour l’application de mesures à cet effet, dont plusieurs sont des recommandations de l’AQT. Notons par exemple la vitrine technologique inversée, attendue depuis le dépôt des orientations TI du gouvernement en 2015, qui vise à ce que ce soit les ministères et les organismes publics qui présentent leurs projets d’investissements aux fournisseurs TI. « L’AQT continuera de veiller à ce que les outils déployés servent effectivement de mécanismes de transfert des compétences et d’aide à la commercialisation pour les entreprises technologiques », a également soutenu Mme Martel.

Travail en amont
L’AQT voit aussi d’un bon œil l’intention gouvernementale de promouvoir les talents et les compétences, et ce, auprès de la relève étudiante. La SQRI institue notamment le projet Ambassadeurs des sciences, au cours duquel des étudiants développeront des expériences et des démonstrations scientifiques ludiques à l’intention des jeunes du primaire et du secondaire. Cette mesure vise à stimuler la passion des sciences et de l’innovation.
Ainsi, l’AQT croit qu’une telle valorisation des connaissances permettra au Québec de mieux se doter des compétences nécessaires pour préserver la compétitivité des industries.

À propos
L’Association québécoise des technologies (AQT) contribue, à l’échelle du Québec, au rayonnement des entreprises des TIC et à la croissance de ce secteur de l’économie. Forte de ses 500 membres, elle rassemble et accompagne les dirigeantes et dirigeants d’entreprises technologiques en les appuyant dans le développement de leurs compétences et dans la performance de leur entreprise tout en favorisant l’évolution des pratiques commerciales. Organisme à but non lucratif autofinancé, l’AQT représente l’ensemble de l’industrie auprès d’instances décisionnelles et constitue aujourd’hui le plus grand réseau d’affaires des TIC au Québec.

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Renseignements : Viviane Couto — Coordonnatrice de projets, communications — AQT 514 874-2667 X 114 – Vcouto@aqt.ca